Le ministre des Affaires étrangères turc Mevlut Cavusoglu a critiqué la Grèce pour non-respect des droits des "Turcs" (sic) vivant dans ce pays. Selon lui,
la Turquie respecte les droits de la minorité grecque qui réside sur
son territoire, et la Grèce « fait l’inverse »............
....... http://french.ruvr.ru/news/2014_12_13/Ankara-a-accuse-Athenes-de-violer-les-droits-de-la-minorite-turque-6221/ --------
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- La communauté grecque et ses institutions à Constantinople, Imvros et Ténédos....
Suite au Traité de Lausanne (1923) et des accords precédenats qui prévoyait des échanges de populations (cf. Les Grecs pontiques),
plus de 130 000 Grecs sont restés à Constantinople, Imvros et Ténédos.
Depuis lors, une série de persécutions systématiques initiées par l’État
turc, en dépit des obligations que ce dernier avait assumées
conformément au Traité de Lausanne, atteint leur paroxysme avec les (1.)Événements de septembre (1955) et (2.)
les expulsions (1964) a conduit à une diminution progressive et
radicale de l’élément grec (dynamique du point de vue social, économique
et culturel) et à son émigration. Aujourd’hui, il reste moins de 3.500
Grecs en Turquie.
1.) En septembre 1955, une horde de
manifestants à Constantinople, organisés selon un plan précis, se sont
retournés contre le Patriarcat œcuménique et la communauté grecque,
saccageant 1.004 habitations, 5.000 petites et grandes entreprises, deux
cimetières, 73 églises, 23 écoles et 5 centres sportifs. Suite à ces
événements, environ 9.000 Grecs ont été contraints de quitter la Turquie
jusqu’en 1960.
2.) En mars 1964, la Turquie
«dénonça» l’Accord bilatéral d’Etablissement (1930). En l’espace de deux
ans, plus de 12.000 Grecs établis en Turquie furent expulsés du pays et
privés de tous leurs biens mobiliers et immobiliers. Suite à cela, des
milliers de Grecs de nationalité turque et leurs familles furent obligés
de fuir le pays dans un climat de peur. Force est de noter toutefois
que les ressortissants grecs établis à Istanbul avaient le droit de
rester pendant toute leur vie dans la ville en application de l'accord
de 1923 sur les échanges de populations et n’ont aucun rapport avec
l’accord bilatéral d’établissement de 1930 susmentionné.
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Putin praises Erdoğan as ‘tough man’ for defying EU over pipeline decision ...
ReplyDeleteRussian President Vladimir Putin has described Turkish President Recep Tayyip Erdoğan as a “tough man,” praising him for not being intimidated by a potential Western reaction against Russia’s decision to scrap the South Stream gas pipeline in favor of replacing it with a route through Turkey.
Putin surprised European countries during a visit to the Turkish capital Ankara on Dec. 1, when he announced that Moscow was scrapping the South Stream gas pipeline that was set to pass through Bulgaria, citing EU objections as the reason. He said Russia would instead build a gas hub at the border between Turkey and Greece to pump gas to southern Europe.
Speaking at his annual end-of-the year news conference on Dec. 18, the Russian president said he was aware that Europe would be infuriated by the decision and claimed to have asked Erdoğan to keep the deal confidential “for now.”
However, he said, the Turkish president refused to keep the decision under wraps, in defiance of any potential criticism.
“I had no doubt [about Europe’s reaction]. I told Erdoğan, ‘Maybe we shall keep the deal we reached a secret for now, not disclose it. Let’s not anger the Europeans. But Erdoğan is tough guy and he explained to me that we had not stolen anyone’s possession and hiding it was unnecessary,” Putin said.................http://www.hurriyetdailynews.com/putin-praises-erdogan-as-tough-man-for-defying-eu-over-pipeline-decision.aspx?pageID=238&nID=75795&NewsCatID=359
18/12/14