The US Department of Homeland Security (DHS) is citing the Capitol unrest to declare a heightened threat of domestic terrorism through April, saying some “individuals” might be frustrated with the Biden administration.
The National Terrorism Advisory System (NTAS) Bulletin issued Wednesday warns that “some ideologically-motivated violent extremists with objections to the exercise of governmental authority and the presidential transition, as well as other perceived grievances fueled by false narratives, could continue to mobilize to incite or commit violence.”
The DHS claims that “some” domestic violent extremists (DVE) “may be emboldened” by the January 6 “breach” of the US Capitol to “target elected officials and government facilities.”
In the accompanying press release, the DHS admits it “does not have any information to indicate a specific, credible plot” but that “violent riots have continued in recent days” – likely a reference to the ongoing violence in Portland, Oregon and Seattle, Washington perpetrated by ‘Antifa’ activists, as no riots by supporters of the former President Donald Trump have materialized...
Le ministère américain de la Sécurité intérieure a publié mercredi un bulletin d’alerte antiterroriste évoquant un "climat de menaces accrues" dans tous les Etats-Unis, liées à des "extrémistes violents" opposés à la présidence de Joe Biden.
ReplyDelete"Des informations suggèrent que des extrémistes violents ayant des objections à l’exercice de l’autorité gouvernementale et à la transition présidentielle, ainsi que d’autres griefs alimentés par des récits mensongers, pourraient continuer à se mobiliser, et à inciter à commettre des violences", selon ce bulletin.
DeleteLe ministère précise, dans un communiqué, ne pas avoir "d’information sur un complot crédible spécifique". Il note toutefois que des "émeutes violentes ont encore eu lieu ces derniers jours" et que ces menaces pourraient persister plusieurs semaines.
colère face aux restrictions liées au Covid-19 et aux résultats de l’élection
Le bulletin, qui doit rester en vigueur jusqu’au 30 avril, relève que des extrémistes animés par plusieurs motivations, et notamment leur "colère face aux restrictions liées au Covid-19 et aux résultats de l’élection" présidentielle, ont comploté en 2020, et parfois, attaqué des bâtiments officiels.
Le gouvernement américain a émis mercredi un bulletin d'alerte antiterroriste face au risque de nouvelles violences par des "extrémistes" opposés à la présidence de Joe Biden.
ReplyDeleteAu même moment, les autorités judiciaires annonçaient l'inculpation d'un partisan de Donald Trump après la découverte dans son entreprise de cinq bombes artisanales et d'un arsenal qu'il comptait, selon l'acte d'accusation, utiliser contre des démocrates.
Le ministère de la Sécurité intérieure a pourtant assuré que son bulletin d'alerte n'était pas motivé par "des informations sur un complot crédible spécifique".
Il fait plutôt état d'un "climat de menaces accrues" présent dans tous les Etats-Unis et susceptible de durer plusieurs semaines.
"Des informations suggèrent que des extrémistes violents ayant des objections à l'exercice de l'autorité gouvernementale et à la transition présidentielle, ainsi que d'autres griefs alimentés par des récits mensongers, pourraient continuer à se mobiliser, et à inciter à commettre des violences", selon son bulletin.
Le ministère de la Sécurité intérieure publie régulièrement ces mises en garde, mais elles sont d'ordinaire liées à des menaces d'origine étrangère, notamment jihadistes. Le dernier portait sur l'Iran.
Le nouveau message semble donc indiquer un changement de pied de l'administration sous la gouverne de Joe Biden qui, lors de son investiture le 20 janvier, a juré de "vaincre le suprémacisme blanc et le terrorisme intérieur".