L'armée syrienne a pris mardi le contrôle d'un quartier rebelle situé près de la citadelle dans le centre d'Alep, après plusieurs jours d'intenses bombardements, a affirmé une source militaire.
"L'armée a repris complètement le contrôle du quartier Farafira, au nord-ouest de la citadelle d'Alep, après avoir neutralisé plusieurs terroristes, et les unités du génie sont en train de déminer le quartier", a ajouté cette source à l'AFP.
Dans la phraséologie du régime, le mot "terroriste" s'applique à tous ceux qui ont pris les armes contre les autorités, qu'il s'agisse de rebelles ou de djihadistes.
Le quartier de Farafira avait été pris par les rebelles en 2012, lorsque ces derniers avaient conquis la moitié de l'ancienne capitale économique. "Cette opération s'inscrit dans le cadre des opérations militaires qui ont été annoncé (jeudi) qui inclut un volet aérien et un volet au sol avec utilisation de l'artillerie", a ajouté ce responsable. Elle fait suite à plusieurs jours d'intenses bombardements par les aviations du régime et de la Russie sur le secteur rebelle.
C'est la première fois depuis de début de l'opération que l'armée annonce avoir avancé dans la vieille ville. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les bombardements ont tué plus de 150 personnes, essentiellement des civils, depuis le début jeudi de l'offensive du régime pour reconquérir la totalité d'Alep. Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, ont protesté contre cette campagne de bombardements.
"Les effroyables attaques sur Alep sont moralement totalement inacceptables et une violation flagrante du droit international", a dénoncé mardi le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg. (Belga)
[rtl.be]
27/9/16
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Dans la phraséologie du régime, le mot "terroriste" s'applique à tous ceux qui ont pris les armes contre les autorités, qu'il s'agisse de rebelles ou de djihadistes.
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C'est la première fois depuis de début de l'opération que l'armée annonce avoir avancé dans la vieille ville. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les bombardements ont tué plus de 150 personnes, essentiellement des civils, depuis le début jeudi de l'offensive du régime pour reconquérir la totalité d'Alep. Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, ont protesté contre cette campagne de bombardements.
"Les effroyables attaques sur Alep sont moralement totalement inacceptables et une violation flagrante du droit international", a dénoncé mardi le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg. (Belga)
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