Maasoum stressed the need for “international cooperation to help Iraq and other countries of the region reign in this terrorist gang [Daesh].”
The president went on to emphasize Iraq’s readiness to “work with any country with a view to eradicating terrorism” as long as Iraq’s “sovereignty, independence and territorial integrity are respected.”
Maasoum’s comments come one day after Russia – for the very first time – carried out airstrikes in Syria.
On Wednesday afternoon, Russian Foreign Ministry spokesman Igor Konashenkov confirmed that Russian warplanes had struck several Daesh positions in the war-torn country.
According to Konashenkov, Wednesday’s airstrikes – which, he said, had been ordered directly by Russian President Vladimir Putin – had targeted Daesh munitions depots, vehicles and communications centers.
Additional Russian airstrikes in Syria were reported on Thursday.
On Thursday evening, following a flurry of speculation that Russia planned to expand its air campaign into Iraq, several parts of which are held by Daesh, Russian Foreign Minister Sergei Lavrov appeared to throw cold water on the notion.
- “We are not planning to expand our airstrikes in Iraq,” he said following a meeting with U.S. counterpart John Kerry at UN headquarters in New York.
“We were not invited; we were not asked, and we are polite people,” Lavrov said. “We don’t come if not invited.”
www.aa.com.tr
1/10/15
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L'Irak envisage de laisser Moscou frapper l’EI sur son sol...
ReplyDeleteLe Premier ministre irakien Haider al-Abadi a accordé un entretien exclusif à France 24, diffusé jeudi, dans lequel il s’est dit prêt à étudier toute proposition de la Russie pour bombarder l’EI sur son territoire.
Bagdad fait des appels du pied à Moscou. Dans un entretien exclusif, diffusé jeudi 1er octobre sur France 24, le Premier ministre irakien Haider al-Abadi se dit prêt à étudier toute proposition de la Russie pour bombarder l’organisation de l’État islamique (EI) sur son territoire.
Interrogé sur d'éventuels pourparlers entre Moscou et Bagdad à ce sujet, Haider al-Abadi dit qu'il est trop tôt pour parler de négociations. Mais il laisse la porte ouverte : "Si l'offre nous est faite, nous l'étudierons".
Jeudi 1er octobre, les Russes se sont dit prêts à examiner une telle option. "Si nous recevons une demande en ce sens du gouvernement irakien, ou s'il y a une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU [...], nous en considérerons la pertinence politique et militaire", a indiqué un responsable du ministère des Affaires étrangères, cité par l’AFP.
"Il est de notre intérêt de partager des informations" avec Moscou et Téhéran a poursuivi le successeur de Nouri al-Maliki au poste du chef du gouvernement. Et d’ajouter : "Mais nous n'avons pas pour intention de mener ou participer à une quelconque opération en Syrie. Notre objectif est d'expulser Daech de l'Irak".........france24.com
1/10/15