Thursday, July 16, 2015

Greek parliament votes Yes for euro bailout deal. ("We don't believe in it, but we are forced to adopt it," Tsipras said)

The Greek parliament has voted in favour of tough austerity reforms in a bid to save the country from bankruptcy, despite opposition from a number of government legislators.

The vote took place early on Thursday morning after a lengthy and at times fiery debate about how a new bailout package would impact on the country.

The package passed with 229 votes in favour in the 300-seat chamber, but 38 Syriza legislators abstained or voted against the government, including including former Finance Minister Yanis Varoufakis, current Energy Minister Panagiotis Lafazanis, Deputy Labour Minister Dimitris Stratoulis and speaker of parliament Zoe Constantopoulou.

Prior to the vote, Prime Minister Alexis Tsipras made a final appeal for support of the tough bailout measures imposed by European partners this week, telling legislators there was no alternative, even though he disagreed with the measures.

  • "We don't believe in it, but we are forced to adopt it," Tsipras said.

The measures had to be approved by parliament before European partners would agree to open talks on a new multibillion euro bailout.

Independent eurozone analyst Yannis Koutsomitis told Al Jazeera that he expected a government reshuffle following the vote, as two or three ministers had voted against the bill.

However, Koutsomitis said he did not expect the prime minister to resign.

Earlier, on Wednesday night, riot police used pepper spray and tear gas to fight back youths who were hurling Molotov cocktails and rocks at police during an anti-austerity protest in Athens.

Police said about 12,500 people were at the rally at Syntagma Square.

The clashes broke out just as lawmakers were starting to debate the austerity bill, which includes consumer tax increases and pension reforms.

Tsipras, has faced strident opposition to the bill from his own radical left Syriza party, but said it was the best possible deal he could get to prevent Greece from being forced out of Europe's joint euro currency.

Earlier on Wednesday, however, his former finance minister Varoufakis told parliament that Greece's rescue deal was like the Versailles treaty, which forced crushing reparations on Germany after World War One and led to the rise of Adolf Hitler.
Source: Al Jazeera and agencies

aljazeera.com
16/7/15
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3 comments :

  1. Le Parlement grec approuve l’accord avec les créanciers...

    Le Parlement grec a adopté, jeudi 16 juillet, une série de dures réformes demandées par les créanciers de la Grèce en préalable à un nouveau plan d'aide malgré quelques défections remarquées dans le camp du premier ministre Alexis Tsipras.
    Le vote de jeudi, intervenu environ une heure après la limite de minuit requise par les créanciers, est la première étape d'un parcours du combattant fixé à Athènes lundi matin par l'UE et le FMI, afin de lui permettre d'espérer un troisième plan d'aide d'au moins 80 milliards d'euros.

    Des frondeurs chez Syriza

    Ces mesures, concernant notamment des hausses de TVA, des mesures sur les retraites et l'adoption d'une règle d'or budgétaire, ont été adoptées par 229 voix pour, tandis que 64 députés ont voté contre et 6 se sont abstenus.

    Si le parti de droite souverainiste ANEL, qui gouverne avec le parti de gauche radicale Syriza de M. Tsipras, a soutenu celui-ci avec sa douzaine de députés, des défections importantes ont été enregistrées dans le camp du premier ministre. Ainsi, 39 députés lui ont fait défaut : 32 ont voté contre, comme l'ex-ministre des finances Yanis Varoufakis et la présidente du Parlement Zoé Konstantopoulou, six se sont abstenus, et un était absent.

    Le chef du gouvernement a toutefois pu compter sur les voix de son partenaire de coalition, le parti de droite souverainiste ANEL, et sur celles de l'opposition. M. Tsipras et ses partisans, tout en tenant fermement à un oui, n'ont pas survendu le projet. « Lundi matin [moment de la signature] fut le pire moment de ma vie », a ainsi déclaré le nouveau ministre des finances Euclide Tsakalotos.

    Tsipras ne « croît pas » à ces mesures......http://www.lemonde.fr/crise-de-l-euro/article/2015/07/16/le-parlement-grec-approuve-l-accord-avec-les-creanciers_4684739_1656955.html#3xj5HRmcEWTgp7aj.99
    16/7/15

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  2. Δεν πιστεύουμε στα μέτρα, αλλά είμαστε υποχρεωμένοι να τα εφαρμόσουμε, τόνισε ο Πρωθυπουργός Αλέξης Τσίπρας.Στην ομιλία του, μετά τα μεσάνυχτα, στη Βουλή ο κύριος Τσίπρας επεσήμανε την κρισιμότητα των στιγμών και την ανάγκη να ληφθούν αποφάσεις ευθύνης...

    Ταυτόχρονα δεσμεύτηκε ότι η κυβέρνηση θα κάνει ό,τι είναι δυνατόν για να μπει τάξη στην χώρα και να αμβληθούν οι κοινωνικές επιπτώσεις των μέτρων.
    Παρά τη δύσκολη συμφωνία, είπε, ούτε εγώ προσωπικά, ούτε η κοινοβουλευτική ομάδα του ΣΥΡΙΖΑ πρόκειται να κάνουμε πίσω από τη δέσμευσή να αγωνιστούμε μέχρι τέλους για το δίκαιο του εργαζόμενου λαού.
    Πηγή: ΡΙΚ Ραδιόφωνο
    riknews.com.cy

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  3. Le Parlement grec a voté la nuit passée en faveur de l'accord des créanciers...

    C'était une étape préalable à la mise en œuvre de toutes les réformes demandées par les dirigeants européens en échange d’un nouveau plan d’aide : le vote au parlement grec a même eu lieu avec un léger retard, une heure après l’échéance fixée à minuit par le FMI et l’Union européenne.

    Le vote a été assez large tout de même : 229 voix pour, 64 contre (et 6 abstentions). Mais cette majorité, le Premier ministre Alexis Tsipras la doit en fait à ses partenaire de la droite souverainiste de l’ANEL et surtout, à son opposition. Car au sein même de son parti Syriza, certains députés lui ont fait défaut. Parmi eux, l'ex-ministre des finances, Yanis Varoufakis, et la présidente du Parlement, Zoé Konstantopoulou.

    Hausses de TVA, mesures sur les retraites, adoption d'une règle d'or budgétaire, ces réformes ont suscité un vif débat dans l’hémicycle, qualifié de "génocide social" par la gauche du parti, tandis qu’Alexis Tsipras, lui-même, avouait lui-même ne pas croire à ces mesures.

    C’est encore à l’extérieur du Parlement, au même moment, que la tension était la plus forte. Des échauffourées ont éclaté dans le centre d’Athènes entre plusieurs dizaines de jeunes gens casqués et masqués, et la police.

    Le Premier ministre grec doit désormais mener des réformes d'austérité à l'opposé du programme pour lequel il a été élu.
    rtbf.be
    16/7/15

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