“We conveyed them to first remove us from the blacklist of the United Nations and allow us to freely travel around the world and then we can think about holding peace talks,” said an unidentified Taliban member during unofficial talks with activists and former Afghan officials in the Qatari capital of Doha on Saturday.
Taliban has reemerged as a strong militant group over the past months as it has managed to capture some key areas in the north and south of Afghanistan.
The militants also carry out attacks in the capital, Kabul. That has prompted renewed efforts in the country and by neighbors to revive stalled negotiations between the militant group and the Afghan government.
Pakistan mediated the first round of talks in the summer of 2015, but a planned second meeting was cancelled after news broke that Taliban’s founder and long-time leader Mullah Omar had died two years ago.
Many suspect that Taliban could reappear on the negotiating table as factional infighting and leadership division has deepened in the group since the death of Omar...
[presstv.ir]
23/1/16
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Les talibans ont de nouveau réclamé dimanche la fin de l'"occupation" étrangère de l'Afghanistan et le retrait de certains de leurs cadres de "listes noires" comme conditions préalables à la reprise les pourparlers de paix, des exigences rejetées par le gouvernement afghan...
ReplyDeleteDes représentants des insurgés ainsi que des parlementaires afghans et des membres de la société civile participaient ce week-end à un séminaire organisé par le mouvement pacifiste Pugwash à Doha, au Qatar.
Dans un communiqué transmis à l'AFP, les talibans demandent une nouvelle fois la "fin de l'occupation" des quelque 13.000 soldats de l'Otan encore déployés en Afghanistan. Ils réclament aussi la réouverture de leur "bureau politique", une représentation installée à Doha ouverte en juin 2013 mais fermée un mois plus tard.
Interrogé par l'AFP sur ces conditions formulées au cours du séminaire à Doha, le porte-parole des talibans Zabiullah Moudjahid a également réclamé le retrait des "listes noires américaines et de l'ONU" des cadres qui y figurent et dont les avoirs à l'étranger sont gelés et la liberté de mouvements restreinte...AFP..rtbf.be