Biden's visit to Ukraine this week on a dual mission of assuring continued support against Russian aggression and saying continued Western backing will rely on Ukraine doing more to fight corruption was met with stories by Vice, the Wall Street Journal, and the New York Times that renewed questions about Hunter Biden's work since 2014 for Burisma Holdings, Bloomberg wrote.
During an interview with Bloomberg on Air Force Two on the flight back to Washington on Tuesday, Biden said that "I don't have any doubt about my son" in terms of the propriety of his work, and that "no one has ever raised that with me in Ukraine and no one I met with, no one has any doubt about my abhorrence of corruption and no one has any doubt that I don’t have any interest in any endeavor."
"I don't talk to my son" about his work, the vice president said, adding that over the years both Hunter and his late son Beau made it their practice not to discuss professional endeavors that might have any connection to Biden's work in the Senate or the White House "for fear that it would somehow indirectly compromise me."
Biden said when it comes to his family, "They all know the rules: That, you know, you can never, ever, ever, even indirectly, put me in a compromising position."
[www.unian.info]
10/12/15
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Biden presse l'Ukraine de saisir une chance "historique" de se réformer ...
ReplyDeleteLe vice-président américain Joe Biden a menacé mardi la Russie de lui faire payer davantage son "agression" contre l'Ukraine si elle perdurait et a appelé les autorités pro-occidentales de Kiev à ne pas rater leur chance "historique" de réformer le pays.
Dans un discours très attendu d'une quarantaine de minutes devant le Parlement, Joe Biden a estimé que chacun en Ukraine "devait relever ce défi historique et enfin bâtir une Nation ukrainienne unie et démocratique qui passera l'épreuve du temps", presque deux ans après le soulèvement pro-européen du Maïdan.
Cette contestation réprimée dans le sang avec plus de cent morts a débouché sur la fuite du président prorusse Viktor Ianoukovitch en février 2014, avant l'annexion par la Russie de la péninsule ukrainienne de Crimée puis le déclenchement d'un conflit dans l'Est séparatiste prorusse de l'Ukraine.
M. Biden a réaffirmé le soutien des Etats-Unis à l'Ukraine face à la Russie, accusée d'armer les séparatistes et d'avoir déployé ses troupes dans l'est de l'Ukraine, où plus de 8000 personnes ont péri en 20 mois, assurant que le "coût imposé à Moscou" allait augmenter si "l'agression russe perdurait".
"Les sanctions ne peuvent pas être allégées tant que la Russie ne remplira tous ses engagements" dans le cadre des accords de paix de Minsk, a-t-il prévenu.....AFP.....rtbf.be
11/12/15