Thursday, September 26, 2013

Roumanie et Bulgarie dans l'espace Schengen: les conditions "pas réunies" . -La France n'est pas la seule à dire non aujourd'hui

AFP - Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement, a affirmé jeudi que les conditions d'entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l'espace Schengen n'étaient actuellement "pas réunies", une semaine après que Manuel Valls se soit dit "plus que réservé" à ce propos.
Comme RMC lui demandait si la France allait s'opposer à l'entrée de ces deux pays dans Schengen (l'espace de libre circulation sans contrôles aux frontières, ndlr), Mme Vallaud-Belkacem a répondu: "Aujourd'hui, nous considérons que les conditions ne sont pas réunies pour que la Roumanie et la Bulgarie puissent intégrer l'espace Schengen."
Donc la France dit non aujourd'hui? "Oui, la France dit non, compte tenu du fait en effet que les conditions ne sont pas réunies, mais la France n'est pas la seule à dire non aujourd'hui", a-t-elle souligné.

Le 19 septembre, interrogé par France Inter, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls avait rappelé qu'il n'y avait à ce jour "pas de décision prise quant à l'entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l'espace Schengen". "Cela n'est pas à l'ordre du jour", et cela ne se fera "pas au 1er janvier", avait-il assuré. Cette date du 1er janvier 2014 correspond à la levée de mesures dérogatoires qui avaient été imposées par un certain nombre de pays membres lors de l'adhésion de ces deux pays à l'Union européenne.

M. Valls s'était aussi dit "plus que réservé sur l'ouverture aujourd'hui de ces frontières tant que la Roumanie et la Bulgarie n'ont pas accompli un certain nombre d'efforts", "tant qu'il n'y a pas de mesures prises pour garantir la sécurité des autres pays, des autres citoyens".
Les Roms sont majoritairement issus de ces deux pays, et la question de leur circulation et de leurs conditions de séjour en France est très sensible dans la classe politique, d'autant plus à l'approche des élections municipales de mars 2014. La population de Roms roumains et bulgares en France est estimée à 15.000 personnes.
Lors d'une visite à Bucarest en juillet dernier, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait dit souhaiter que l'adhésion de la Roumanie à Schengen se fasse "en deux étapes", le premier pas pouvant être une ouverture des frontières aériennes. Il n'avait pas précisé de date.
Mais, avait-il fait valoir, cette adhésion devra se faire "en renforçant encore davantage toutes les mesures de sécurité et d'intégrité de cet espace car nous avons un combat commun à mener contre la corruption et la criminalité sous toutes ses formes". M. Ayrault avait aussi à cette occasion souligné qu'il revenait à la Roumanie de mieux intégrer sa minorité rom (plus de 620.000 personnes, selon le recensement officiel).
Membres de l'UE depuis 2007, la Roumanie et la Bulgarie tentent d'entrer dans l'espace Schengen depuis 2011, mais des Etats comme les Pays-Bas estiment qu'elles doivent faire davantage de progrès dans la lutte contre la corruption.
 http://www.france24.com/fr/20130926-roumanie-bulgarie-lespace-schengen-conditions-pas-reunies
26/9/13
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7 comments :

  1. Pourquoi les propos de Valls sur les Roms ont semé la zizanie au gouvernement ... La charge de la ministre du Logement, Cécile Duflot, contre le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, relance ce jeudi la polémique....

    "Les Roms ont vocation à revenir en Roumanie ou en Bulgarie." Les propos de Manuel Valls sur les Roms n'en finissent plus de diviser le gouvernement. Après le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, c'est la ministre du Logement, Cécile Duflot, qui a tapé du poing sur la table, jeudi 26 septembre, aux journées parlementaires de son parti, Europe Ecologie-Les Verts.

    Pour Cécile Duflot, le ministre de l'Intérieur est allé "au-delà de ce qui met en danger le pacte républicain". "Quand on est au gouvernement, quand on a vécu le 21 avril [2002] , on n'a pas le droit de reproduire les mêmes erreurs", a-t-elle déclaré.....http://www.francetvinfo.fr/politique/polemiques-sur-les-roms/pourquoi-les-propos-de-valls-sur-les-roms-ont-seme-la-zizanie-au-gouvernement_421245.html#xtor=RSS-3-[lestitres]
    26/9/13


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  2. Roms : le gouvernement accusé de ne pas appliquer ses propres règles...

    Dominique Baudis, le défenseur des droits, estime que l'exécutif n'applique pas la circulaire encadrant le démantèlement des camps de Roms.

    Une nouvelle voix vient s'élever contre le gouvernement dans la polémique sur les Roms. Le défenseur des droits, Dominique Baudis, a accusé, vendredi 27 septembre, l'exécutif de ne pas appliquer une circulaire du 26 août 2012 encadrant le démantèlement des camps de Roms. "Cette circulaire interministérielle d'août 2012 n'est pas appliquée dans tous les cas, loin s'en faut", a déclaré l'ancien maire de Toulouse, en ouverture d'un colloque sur le sujet à l'Assemblée nationale. "Trop souvent, les évacuations se produisent sans décision de justice préalable. Trop souvent, le délai des trois mois entre le jugement et le démantèlement n'est pas respecté", bien que ce délai soit "nécessaire" pour réaliser les diagnostics des populations, a-t-il ajouté.

    La circulaire prévoit un diagnostic social des populations en amont des évacuations et un accompagnement en aval. En juillet, le défenseur des droits, chargé de la protection des droits et des libertés des citoyens, avait déjà dressé ce bilan et formulé des recommandations. "Hélas, à ce jour, nous n'avons toujours pas de réponse" de Matignon, a-t-il regretté. "Confronté à ce silence (...), j'ai relancé le Premier ministre dès cette semaine au sujet de notre bilan et de nos recommandations."
    Un problème continental

    Jeudi, Jean-Marc Ayrault a présenté cette circulaire comme étant "la politique du gouvernement" pour trancher une polémique née après des propos controversés du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls. "Il y a tout dedans, y compris la fermeté, y compris le respect du droit mais aussi tout le travail d'intégration, tout le travail d'accompagnement social", a dit le Premier ministre.

    Face à la guerre ouverte opposant Manuel Valls et Cécile Duflot sur la question, le défenseur des droits a dénoncé "l'irrationnalité des arguments, des comportements et des prises de position". Mais, a-t-il ajouté, "on ne peut pas réduire à un problème national ce qui est un défi adressé à tout notre continent". Dominique Baudis a donc demandé à Viviane Reding, commissaire européenne à la Justice et aux Droits fondamentaux, de réunir tous les responsables européens chargés de la lutte contre les discriminations pour établir une stratégie commune.
    http://www.francetvinfo.fr/politique/polemiques-sur-les-roms/roms-le-gouvernement-accuse-de-ne-pas-appliquer-ses-propres-regles_421829.html#xtor=RSS-3-[lestitres]
    27/9/13

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  3. Roms bulgares: les fonds européens, gouttes d'eau dans un océan de misère...

    A 37 ans, Zoya Tcherechkova, Tzigane bulgare de Doupnitsa (sud-ouest), a dix enfants qu'elle nourrit à peine, alors que deux d'entre eux ont profité de programmes financés par des fonds européens pour se réintégrer à l'école quittée prématurément.

    "Haricots, lentilles, pommes de terre, nous ne mangeons jamais à notre faim. Les enfants goûtent rarement de la viande et s'habillent de ce que nous trouvons dans les poubelles", résume-t-elle.

    Médiatrice de santé nommée avec six collègues sur un programme européen, Ani Stoyanova, 31 ans, elle-même d'origine Rom, passe ses journées à conseiller les habitants des ghettos de Doupnitsa, une ville de 39.000 habitants, dont 4.300 roms.

    "Nous avons fait découvrir à Zoya il y a quatre ans des moyens de contraception, ce qui a mis fin à ses grossesses", se félicite Ani.

    Touchant le salaire minimum mensuel de 280 leva (143 euros), les médiatrices sont recherchées par les roms illettrés, notamment pour les procédures à suivre afin d'obtenir des aides sociales et des soins médicaux. Les familles d'enfants souffrant d'épilepsie ou mentalement handicapés découvrent ainsi leurs droits à pension et à des médicaments gratuits.

    Les médiatrices sont employées de la mairie de Doupnitsa, qui consacre aux roms une partie du financement européen.

    "De 2007 à 2013, nous avons touché 60-70 millions de leva (30-35 millions d'euros) de fonds européens au total, ce qui dépasse de 30% le budget de la municipalité", déclare Krassimir Gueorguiev, maire adjoint.

    Des centaines de milliers d'euros ont financé des études d'enfants et d'adultes de la minorité rom. Une autre partie garantit du travail subventionné, notamment dans les secteurs de la voirie et de l'entretien des parcs et jardins publics.

    Beaucoup d'espoirs se reportent sur le nouveau programme Integra, d'un budget de 2,5 millions d'euros, d'édification de logements pour 150 ménages et des opportunités d'éducation et d'emploi aux plus défavorisés.

    Des fonds européens ont servi entre autres à attirer plus de 120 enfants roms à l'école maternelle Slantse (Soleil) en vue de leur intégration future à l'école primaire. "Musique, théâtre, poterie, les enfants roms, privés de jouets chez eux, sont plus motivés que les autres", assure l'institutrice Eli Ivanova.

    "Nous avons frappé de porte à porte dans Guizdova, le quartier rom le plus grand et le plus pauvre, pour convaincre les parents d'amener leurs enfants. Ensuite, il fallait surmonter la méfiance des autres parents qui s'alarmaient que les enfants roms n'apportent des maladies", témoigne la directrice, Monika Nikolova.

    "Gouttes d'eau dans un océan de misère"....http://www.rtbf.be/info/societe/detail_roms-bulgares-les-fonds-europeens-gouttes-d-eau-dans-un-ocean-de-misere?id=8099756
    27/9/13

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  4. Roms: jeu de dupes entre Paris et Bruxelles...

    La Commission européenne a fustigé les dérapages de la classe politique française sur les Roms. Mais si Bruxelles a dénoncé à juste titre certaines confusions entretenues en France, Viviane Reding a elle-même fait preuve d'un flou certain. Explications.

    Les déclarations de Manuel Valls sur les Roms qui "ont vocation à revenir en Roumanie ou en Bulgarie" ont provoqué une mini-tempête entre paris et Bruxelles et donné lieu à pas mal de confusion et d'imprécisions de part et d'autre.

    Il est "illusoire de penser qu'on règlera le problème des populations roms à travers uniquement l'insertion", avait proclamé le ministre français de l'Intérieur, au micro de France Inter, mardi avant d'ajouter qu'il n'y avait "pas d'autre solution que de démanteler ces campements progressivement et de reconduire (ces populations) à la frontière".

    Cette nouvelle charge de Manuel Valls a provoqué les foudres de Viviane Reding, interrogée sur France Info, mercredi. La commissaire européenne à la justice, aux droits fondamentaux et à la citoyenneté a fustigé le recours aux discours anti-Roms, à chaque campagne électorale: "A chaque fois qu'on ne veut pas parler de choses importantes comme le budget ou les dettes, on trouve les Roms", a-t-elle relevé.

    Pourtant, de part et d'autre, on a semé la confusion, à deux niveaux: celui de la définition des notions de liberté de circulation et du travail, et celui des montants financiers prévus pour l'intégration des Roms.
    La libre circulation, un droit inaliénable mais qui comporte des conditions

    Manuel Valls s'est déclaré "plus que réservé" sur l'entrée de la Bulgarie et la Roumanie dans l'espace Schengen la semaine dernière. Le même jour, Marine Le Pen a appelé à "la dissolution de l'espace Schengen" avant de rappeler que "dès le 1er janvier 2014 la Roumanie et la Bulgarie seront des membres de plein droit de l'UE. Sans être encore dans Schengen, la circulation au sein de l'UE des Roumains et Bulgares, et donc des Roms, sera encore plus facile que maintenant". De quoi s'agit-il ?

    Les traités européens prévoient que tous les citoyens de l'Union européenne bénéficient de la liberté de circuler librement dans tous les Etats membres. Mais au-delà de la période de séjour initiale de trois mois suivant l'entrée sur le territoire, le droit européen confère au citoyen de l'UE un droit de séjour pour autant que ce dernier ait ou soit à la recherche d'un emploi, poursuive des études, ou dispose de ressources financières suffisantes et d'une assurance maladie.
    L'entrée d'un pays dans l'espace Schengen, une décision politique ....http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/roms-jeu-de-dupes-entre-paris-et-bruxelles_1285605.html#ZiA1PB2Tglruxgep.99
    28/9/13

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  5. Roms: "L'union européenne doit enfin faire respecter des droits fondamentaux"...

    Les Roms sont au coeur du débat en France, alors qu'un nouveau camp a été évacué à Roubaix. Mais leur situation est la même partout en Europe rappelle Paul Morin, qui lance un appel au nom du Mouvement Antiraciste Européen.

    Qui peut encore ignorer le racisme qui frappe les Roms à travers toute l'Europe? La liste des persécutions qu'ils subissent pourrait s'allonger à l'infini comme une funeste litanie, et faire sombrer dans la désespérance.

    En Roumanie, des communautés entières sont reléguées dans des quartiers séparés par des murs, sans eau ni électricité, comme en Slovaquie, où des femmes Roms ont par ailleurs été stérilisées. En Bulgarie, ils sont parqués dans des ghettos urbains. En République Tchèque, ils sont la cible de manifestations néo-nazies qui se multiplient. En Croatie, ils sont visés par des cocktails molotov. En Hongrie, la milice paramilitaire du Jobbik les harcèle et les violente, les obligeant souvent à chercher l'exil à l'étranger. En Bosnie-Herzégovine, ils sont victimes de discriminations quotidiennes comme en Italie, en Moldavie ou encore en Serbie. En France, les appels à la haine voire à l'extermination se multiplient, et les Roms continuent d'être victimes de stigmatisations similaires et des mêmes expulsions que sous le précédent pouvoir. Les retours forcés au Kosovo répondent aux expulsions continues d'Allemagne, du Danemark ou encore de Suède.

    Si la violence des persécutions varie selon les pays, elles sont de même nature partout. Elles puisent leurs origines dans les mêmes représentations stigmatisantes et les mêmes stéréotypes éculés.

    Comme pour mieux faire perdurer ces persécutions, c'est un véritable violentement de la mémoire qui est parfois à l'oeuvre aujourd'hui. Par exemple à Léty, en République Tchèque, une usine porcine est installée sur le site même d'un camp nazi, souillant la mémoire des quelque 1 300 Roms qui y ont été concentrés entre 1942 et 1943 -et dont seuls 300 ont survécu aux déportations et à la mort sur place.

    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/pour-la-dignite-des-roms-en-europe_1287693.html#EPttV2eImSt7B4ut.99
    3/10/13

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  6. “Romania’s accession to Schengen to be adopted in December” ....

    Review by Christos T. Panagopoulos -
    The authorities in Bucharest make efforts for Romania’s accession to Schengen space to be discussed at the Council of Justice and Home Affairs in December, Foreign Minister Titus Corlatean reiterated.

    “The Lithuanian Presidency of the European Union included several months ago, as a decision project, for the JHA Council in December, the issue of accession of Romania and Bulgaria. We further work for this project — possibly in two steps — to remain valid in December. It will count a lot what happens in Berlin, as well, that’s true. The previous talks at the level of the two prime ministers I think they helped to better understand certain aspects. Obviously we want (the decision to be taken — editor’s note) in December, because it’s a legitimate issue for Romania. If this does not happen, there is no alternative than to continue efforts to join the Schengen space”, the head of Romanian diplomacy told the Realitatea TV channel.

    Corlatean had said on September 16 that Romania was to usually approach the Member States of the European Union so that a positive decision to be taken in December on Romania’s accession to the Schengen space, most likely a “two steps” one.
    - See more at: http://www.balkaneu.com/romanias-accession-schengen-adopted-december/#sthash.kYLAp8Z9.dpuf
    4/11/13

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  7. Cameron schränkt Arbeitslosenhilfe für EU-Bürger ein...

    Ab Januar haben EU-Bürger in den ersten drei Monaten in Großbritannien keinen Anspruch auf Arbeitslosenhilfe mehr. Premier Cameron will damit Einwanderer abschrecken.

    Angesichts von Klagen über sogenannten Sozialhilfetourismus hat die britische Regierung von David Cameron Einschnitte bei Unterstützungsleistungen für Einwanderer aus EU-Staaten ab Januar angekündigt. Ab Jahresbeginn bestehe in den ersten drei Monaten nach der Einwanderung kein Anspruch auf Arbeitslosenhilfe mehr, teilte der Premierminister mit.

    Das vorgesehene Paket, das auch weitere Maßnahmen enthält, werde Großbritannien zu einem "weniger attraktiven Ort für EU-Einwanderer machen, die herkommen und versuchen, auf Staatskosten zu leben".

    Das Maßnahmenpaket war im November angekündigt worden, allerdings gab es bislang keinen konkreten Zeitplan. Camerons konservative Regierung klagt bereits seit Längerem über Einwanderer aus ärmeren EU-Staaten wie etwa Rumänien und Bulgarien und wirft ihnen vor, die britischen Sozialsysteme zu belasten. Zum Jahresende laufen Beschränkungen für die Freizügigkeit von Arbeitnehmern aus diesen beiden Staaten aus.

    In der Europäischen Union gibt es eine Debatte über die Freizügigkeit, in der sich auch der frühere Bundesinnenminister Hans-Peter Friedrich (CSU) und die niederländische Regierung ähnlich wie Cameron äußerten. Die EU-Kommission legte im Oktober einen Aktionsplan vor, mit dem möglicher Missbrauch von Sozialsystemen bekämpft werden soll.
    http://www.zeit.de/politik/ausland/2013-12/grossbritannien-cameron-eu-einwanderer-arbeitslosenhilfe
    18/12/13

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